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I have followed the different stages of Lucrecia's evolution with increasing interest, she's art, full of creative life, which comes from an ancient humanistic evolution to move towards increasingly free and abstract modernity. And yet, both times and others seem to have a common substratum, made of a solid formation and a free enjoyment in everything he creates.

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From the time of its exhibition at the Museum of Modern Art in Tarragona, I was especially struck by her mixture of classical sculptures and columns with the modern world of sport. Later, in her exhibition at Barcelona's Galeria Maria Salvat, everything began to evolve towards an abstract beauty made of planes and thicknesses of material, which later, in her last exhibition at the Casino de Cadaqués, acquired even greater austerity, with the fund's blacks from his paintings.

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Finally, the presentation in Madrid, Lucrecia prepared a wide display of three different techniques related to each other. First, the paintings, some large abstract paintings, sometimes with paper collages, others with mineral powders or simply with extremely austere colored paint powders: black, white, gray, dark garnet.

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And the themes, geometric figures, wide square straight bands ... that will later go on to the second technique, ceramics, these parallepipedic cubes of pure austere matter; or the engravings, other of her old chores, this time also inspired by the theme of cubes in space.

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The important thing in all cases is this extreme emotional freedom, this deep joy of artistic creation, which, being austere with subjects, overflows with vitality and beauty.

Jaume Socias Palau

Catalan Association of Art Critics

Lucrecia Pascual présente en ce moment á la Galerie Estudio Peironcely á Madrid une série de peintures, dessins, gravures et sculptures en cerámique qui s'organisent et se déclinent autor de formes géométriques abstraites, en des tons chauds de terre. 

Dans ses précédents travaux, Lucrecia Pascual avait déja eu besoin-sciemment on non-d'apurer, de concentrer la jailiesementr de sa créativité par la présence de lignes géometriques qui cernaient son expression, lui permettant de dépasser, de transcender l'anecdote. Rectangles ou carrés, utilisés en tant que cadres ou réserves, étaient apparents dans l'espace du tableau, comme les signes nécessaires de son vocabulaire formel. 

Aujourd'hui le face à face s'impose avec encore plus rigueur: le carré ou le cube devient l'elément fontateur de cette série. Et si de cette forme parfaite, elle aime capturer la force intrinsèque, elle habille néamoins de chaleur, d'épaisseur sensibles. Per la recherche de matiéres nourries de pigments naturels, elle associe les camaïeux , et permet le chatoiement des blanc terreux, beige, scienne ou grenat sombres, noirs multiples saturés de bleu. 

Mais cela ne suffit pas. Ses doigs la conduisent vite à la glaise, pour faire surgir et se dresser les formes cubiques: ce sont ses premieres sculptures de céramique. Leur angles arrondis évoquent davantage les courbes naturelles de sols dénudés de la terre en hivern plutôt que les arêtes acérées de structures symëtriques. Et les parois. souples, irregulieres, gardent l'empeinte des caresses des mains qui les ont faconnées, ainsi que les griffures accidentelles que les geste ou le temps impriment au hasard. 

Fragiles et forts á la fois, les volumes s'accoudent, se frôlent se cherchent ou s'attouchent plus qu'ils ne s'emboitent ou ne s'emboitent ou ne s'insérent de mainére mecanique. 

De lá surgit precisément la qualité de presence particuiére qui émane des derniers traveaux de Lucrecia Pascual: une subtie alchimie de force tendue, vibrante et sensible, qui reste ouverte sur l'espace... 

Barcelona, le 25 Janvier 2001

Claudia Paluel-Marmont

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